À partir d’une étude socio-économique menée avec SEVES et le cabinet THEC dans le cadre du projet PACK II en 2017 au Niger, qui visait à estimer la demande solvable pour le service public de l’eau dans huit villages notamment, Amandine Laré et deux autres chercheurs ont pu étudier les impacts des mini-réseaux d’adduction d’eau potable au Niger à travers la méthode d’appariement entre les ménages de villages disposant d’un service d’eau potable et les villages n’en disposant pas.
D’une étude initialement prospective développée en étude d’impact, cet article démontre l’intérêt de continuer à développer des ponts entre les ONG et le monde de la recherche.