La première séance, qui s’est tenue en janvier dernier, s’est focalisée sur :

  • le processus de mise en affermage des services d’eau potable en zone rurale pour déléguer la gestion du service à un opérateur professionnel,
  • les indicateurs de performance de ces services.

En effet, la loi tchadienne impose que la gestion des services des localités de plus de 10 000 habitants, non concédées à la société nationale, soit assurée par un opérateur privé. La DSEOH a donc une activité importante de passage en affermage, en priorité dans les villes en difficulté (arrêt du service notamment).

Ce cycle de formation, dont la première séance a suscité un fort engouement, se poursuivra dès le mois prochain au sujet du contrat d’affermage et du compte d’exploitation d’un service d’eau potable. Avec le soutien du Syndicat des Eaux d’Île-de-France, de l’Agence Française de Développement et de l’Agence de l’eau Seine-Normandie.