A Gninangouha notamment, avec les effets du changement climatique, des variations de la pluviométrie, et de la croissance du village, les habitants doivent depuis quelques années parcourir plus de 5 km sous plus de 40°C pour s’approvisionner en eau entre mars et juin, du fait du tarissement des puits, entraînant le départ de plus en plus de ménages.

Le projet bénéficie du soutien de la Métropole d’Aix Marseille Provence, la Métropole de Lyon, la société Eau du Grand Lyon et l’Agence Rhône Méditerranée Corse (ARMC) pour la première phase qui consiste à réaliser le réseau de Kanguessanou, qui est dimensionné pour être étendu en seconde phase aux villages voisins.