Lorsque le village ne disposait pas de bornes fontaines publiques, je sentais mon corps sale et crasseux. Avec l’arrivée d’une eau accessible et propre, j’ai pu retrouver ma beauté et– par la même occasion– me réconcilier avec mon mari. En dehors des aspects purement esthétiques, je ne passe plus la nuit à puiser l’eau du puits, mais avec mon mari au foyer.
Témoignage de femmes, projet PACK Niger